Je suis flic.
Mais avec un groupe de malfaiteurs, nous fomentons l'assassinat d'une femme. Pour une série de raisons. Personnelllement, je la hais. D'autres ne la connaissent même pas mais comme elle est riche...
Je me retrouve sur la scène d'un crime, sur l'autoroute. Avec ma brigade, nous travaillons ; relevé d'empreintes, enquête de témoins, etc. J'ai un collègue bizarre, beau mais fade, qui me drague mais je sais que c'est un leurre. En outre, je suis ces temps-ci menace de mort.
Un soir que je rentre chez moi, une femme (une autre) qui vit dans le quartier m'aborde et ne me lâche plus. La cinquantaine, les cheveux longs, un peu crépus blond roux, quelques rides, pas d'accent. Elle me dit qu'elle m'aime, qu'elle adore ma voix, et s'accroche physiquement à moi. Elle me gonfle. Elle me raconte qu'elle est une rescapée du ghetto de Varsovie.
A ce moment, deux hommes patibulaires s'approchent et l'enjoignent fermement de me laisser tranquille. Elle cède. Je leur en sais gré tout en sentant de la pitié pour elle. Je l'oublie pour accompagner mes malfrats à une réunion de notre groupe d'assassins.
Nous sommes bien une vingtaine de personnes, dont Madonna. Celle-ci est asiatique et double : elle nous fait son show où elle et son sosie dansent et chantent au milieu d'une troupe (Madonna, quoi) de sorte qu'on ne peut pas distinguer la vraie de l'autre. Enfin, elle se signale à nous et nous interroge sur nos plans communs d'une façon autoritaire voire virile.
Mais avec un groupe de malfaiteurs, nous fomentons l'assassinat d'une femme. Pour une série de raisons. Personnelllement, je la hais. D'autres ne la connaissent même pas mais comme elle est riche...
Je me retrouve sur la scène d'un crime, sur l'autoroute. Avec ma brigade, nous travaillons ; relevé d'empreintes, enquête de témoins, etc. J'ai un collègue bizarre, beau mais fade, qui me drague mais je sais que c'est un leurre. En outre, je suis ces temps-ci menace de mort.
Un soir que je rentre chez moi, une femme (une autre) qui vit dans le quartier m'aborde et ne me lâche plus. La cinquantaine, les cheveux longs, un peu crépus blond roux, quelques rides, pas d'accent. Elle me dit qu'elle m'aime, qu'elle adore ma voix, et s'accroche physiquement à moi. Elle me gonfle. Elle me raconte qu'elle est une rescapée du ghetto de Varsovie.
A ce moment, deux hommes patibulaires s'approchent et l'enjoignent fermement de me laisser tranquille. Elle cède. Je leur en sais gré tout en sentant de la pitié pour elle. Je l'oublie pour accompagner mes malfrats à une réunion de notre groupe d'assassins.
Nous sommes bien une vingtaine de personnes, dont Madonna. Celle-ci est asiatique et double : elle nous fait son show où elle et son sosie dansent et chantent au milieu d'une troupe (Madonna, quoi) de sorte qu'on ne peut pas distinguer la vraie de l'autre. Enfin, elle se signale à nous et nous interroge sur nos plans communs d'une façon autoritaire voire virile.