J'ai d'abord lu le poème comme un texte philosophique (ou en tous cas chargé de transmettre un sens explicite), et chaque phrase dit quelque chose à sa façon un peu voilée........et puis soudain c'était bien qu'il y ait ce bon sang dénué de point d'exclamation, parce qu'il fait un étrange effet, et qu'on se demande ce qu'est ce liquide lourd et chaud et rouge, et (vers) où il coule.
J'aime beaucoup aussi le texte de Celan:l'ombre de la parole. On voit bien les points communs.
J'aime beaucoup aussi le texte de Celan:l'ombre de la parole. On voit bien les points communs.