le jardin des statues où comment je suis devenue gardienne de cimetierre
Parce qu’on ne se parlait pas
Tu n’existais pas
Comme un arsenal de statues
Tu as créé le vide en moi
Le manque
*
Comme une gomme à sentiments
Sans un mot
Par une belle journée parasol pourtant
A se parler du bout des yeux
*
T’avais pris une bière et moi minérale
*
Les saisons ont passé dans le vide
Parce que je n’existe plus
Parce que tu n’as jamais existé
Nous sommes le rêve d’un rêveur
Dans le jardin des statues
Je n’existe plus dans le présent
Parce que tu as créé le manque
A des années lumières
*
Flétris du bout des yeux
*
Parce qu’on se croisera
Peut-être
Un jour sur le pavé des jours
Par hasard dans une autre vie…
*
Et comme ce jour là j’existerai peut-être
*
Parce qu’on ne se parlait pas
Tu n’existais pas
Comme un arsenal de statues
Tu as créé le vide en moi
Le manque
*
Parce que le livre de mes années
Se feuillète sur le sable oublié
Quelque part
Dans le jardin des statues
*
D’un marque page de voyelles
*
Comme une gomme à sentiments
Sans un mot
Par une belle journée parasol pourtant
A se parler du bout des yeux
*
Ma présence, ton absence, le marbre
Ont créé le vide en moi à jamais...
Parce qu’on ne se parlait pas
Tu n’existais pas
Comme un arsenal de statues
Tu as créé le vide en moi
Le manque
*
Comme une gomme à sentiments
Sans un mot
Par une belle journée parasol pourtant
A se parler du bout des yeux
*
T’avais pris une bière et moi minérale
*
Les saisons ont passé dans le vide
Parce que je n’existe plus
Parce que tu n’as jamais existé
Nous sommes le rêve d’un rêveur
Dans le jardin des statues
Je n’existe plus dans le présent
Parce que tu as créé le manque
A des années lumières
*
Flétris du bout des yeux
*
Parce qu’on se croisera
Peut-être
Un jour sur le pavé des jours
Par hasard dans une autre vie…
*
Et comme ce jour là j’existerai peut-être
*
Parce qu’on ne se parlait pas
Tu n’existais pas
Comme un arsenal de statues
Tu as créé le vide en moi
Le manque
*
Parce que le livre de mes années
Se feuillète sur le sable oublié
Quelque part
Dans le jardin des statues
*
D’un marque page de voyelles
*
Comme une gomme à sentiments
Sans un mot
Par une belle journée parasol pourtant
A se parler du bout des yeux
*
Ma présence, ton absence, le marbre
Ont créé le vide en moi à jamais...