Nous sommes peut-être dans une inversion du schéma historique de la postérité. Dans le monde antique, quelques personnes remarquaient un phénomène "littéraire" (ou artistique) et le transmettaient à d'autres. Si l'impact se réitérait, le lectorat croissait.
Aujourd'hui, la notoriété varie entre quelques (dizaines de) personnes et un, bientôt deux milliards et plus. Que devient la postérité dans un ordre qui se jouait de 1 à 100 000 et qui se rejoue dans un ordre de 1 à 2 milliards ?
Je ne sais pas. Ce qui impressionne, c'est la puissance de la déflation.
Aujourd'hui, la notoriété varie entre quelques (dizaines de) personnes et un, bientôt deux milliards et plus. Que devient la postérité dans un ordre qui se jouait de 1 à 100 000 et qui se rejoue dans un ordre de 1 à 2 milliards ?
Je ne sais pas. Ce qui impressionne, c'est la puissance de la déflation.