Je continue (à tort ou à raison, à vous de me le dire) de vous offrir mes dernièrs poèmes en exclusivité!
C'est encore un sonnet...
Je volais seul au vent…
Je volais seul au vent sur des plaines stériles
Cherchant ici l’émoi puis l’aventure ailleurs,
Certain qu’après la crête existaient de meilleurs
Horizons. Des jardins, sur des lointaines îles…
Toi, tu volais heureuse à coups d’ailes graciles,
Jamais loin de ton nid, toujours forte d’ailleurs,
Tu prêtais ton soutien de tes bras travailleurs
A de fragiles gens dans des élans utiles.
Par une exquise aurore on croisa nos chemins
Et je su tout à fait que mes jours dans l’errance
Désormais se fondaient en d’autres lendemains.
Tu m’accueillis en paix d’un rire délicat
- Je vois encor tes yeux pétiller d’insouciance -
Une trace à mon cœur que ton amour marqua.
C'est encore un sonnet...
Je volais seul au vent…
Je volais seul au vent sur des plaines stériles
Cherchant ici l’émoi puis l’aventure ailleurs,
Certain qu’après la crête existaient de meilleurs
Horizons. Des jardins, sur des lointaines îles…
Toi, tu volais heureuse à coups d’ailes graciles,
Jamais loin de ton nid, toujours forte d’ailleurs,
Tu prêtais ton soutien de tes bras travailleurs
A de fragiles gens dans des élans utiles.
Par une exquise aurore on croisa nos chemins
Et je su tout à fait que mes jours dans l’errance
Désormais se fondaient en d’autres lendemains.
Tu m’accueillis en paix d’un rire délicat
- Je vois encor tes yeux pétiller d’insouciance -
Une trace à mon cœur que ton amour marqua.