En toute chose, c’est la fin qui est éternelle
Mais il est vrai que nulle création ne se conteste!
C'est la naissance de la fin qui est essentielle
Car, qui d’entre nous ignore que la pluie torrentielle
N’est en vrai que l’âme vitale des effluves célestes.
En toute chose, c’est la fin qui existe
Or nulle fin ultime avec une nouvelle éclosion
Où l’on peut respirer l’écho du foehn qui existe
Et savourer des fleurs le nectar de leur érosion
En toute chose, c’est la fin qui est essentiel
Mais seul reste en mémoire la qualité de l’instant
En toute chose, le moment présent n'est pas partiel
Car mieux vaut la vie dans la vertu de son potentiel
Et oublier l’exhalaison intime du principe envoûtant.
Mais il est vrai que nulle création ne se conteste!
C'est la naissance de la fin qui est essentielle
Car, qui d’entre nous ignore que la pluie torrentielle
N’est en vrai que l’âme vitale des effluves célestes.
En toute chose, c’est la fin qui existe
Or nulle fin ultime avec une nouvelle éclosion
Où l’on peut respirer l’écho du foehn qui existe
Et savourer des fleurs le nectar de leur érosion
En toute chose, c’est la fin qui est essentiel
Mais seul reste en mémoire la qualité de l’instant
En toute chose, le moment présent n'est pas partiel
Car mieux vaut la vie dans la vertu de son potentiel
Et oublier l’exhalaison intime du principe envoûtant.