Allons, mon bel amour, marcher dans la colline,
Sous le soleil brûlant qui plombe les vallons.
Nous pourrons nous aimer ou jouer aux ballons
Sous l’ombre d’un grand chêne à la verdeur divine.
Le cœur de la nature est comme à l’origine,
Un écrin pur et vrai pour ce que nous voulons :
L’épanouissement ! Privés des violons,
C’est par nos chants unis que l’amour s’achemine.
Mettons premièrement le Seigneur entre nous
Pour nous garder du mal, de la peur et des fous
Et guider nos efforts, nos rêves malhabiles !
Mais la fille s’ennuie, prend son air malheureux…
Lui, voit dans son regard des sentiments hostiles
Qui viendront tôt ou tard semer le doute entre eux.
http://chansonnier.over-blog.com/
Sous le soleil brûlant qui plombe les vallons.
Nous pourrons nous aimer ou jouer aux ballons
Sous l’ombre d’un grand chêne à la verdeur divine.
Le cœur de la nature est comme à l’origine,
Un écrin pur et vrai pour ce que nous voulons :
L’épanouissement ! Privés des violons,
C’est par nos chants unis que l’amour s’achemine.
Mettons premièrement le Seigneur entre nous
Pour nous garder du mal, de la peur et des fous
Et guider nos efforts, nos rêves malhabiles !
Mais la fille s’ennuie, prend son air malheureux…
Lui, voit dans son regard des sentiments hostiles
Qui viendront tôt ou tard semer le doute entre eux.
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