Ce n'est pas moi. Les cris, hurlés à ton oreille,
Un visage tordu qui renie son amour.
Ça n'est pas arrivé. Je suis doux.
On brûle tous ses rêves à suivre les mirages
Et répandre à ses pieds les cendres de sa vie.
Ce n'est pas moi. Les coups, ma mains serrant ton bras
Et nos espoirs déçus, et le renoncement.
ça n'est pas arrivé. Je suis doux.
Car, si c'était le cas, je noierais mon dépit
Dans des litres de sang, des projets égoïstes.
Ce n'est pas moi. Mon ange, c'est le ciel qui s'écroule
Et brise sur mon cou la lame de son glaive!
Ça n'est pas arrivé. Je suis si doux.
C'est la folie du monde... Aveugle-moi le coeur!
Et ne rajoute pas de poids à mon fardeau,
Si je perdais l'esprit, plus de place à l'espoir!
Ce n'est pas moi. Mon coeur, dans l'axe de nos jours,
Après que fut la mort, tout sera oublié.
Un visage tordu qui renie son amour.
Ça n'est pas arrivé. Je suis doux.
On brûle tous ses rêves à suivre les mirages
Et répandre à ses pieds les cendres de sa vie.
Ce n'est pas moi. Les coups, ma mains serrant ton bras
Et nos espoirs déçus, et le renoncement.
ça n'est pas arrivé. Je suis doux.
Car, si c'était le cas, je noierais mon dépit
Dans des litres de sang, des projets égoïstes.
Ce n'est pas moi. Mon ange, c'est le ciel qui s'écroule
Et brise sur mon cou la lame de son glaive!
Ça n'est pas arrivé. Je suis si doux.
C'est la folie du monde... Aveugle-moi le coeur!
Et ne rajoute pas de poids à mon fardeau,
Si je perdais l'esprit, plus de place à l'espoir!
Ce n'est pas moi. Mon coeur, dans l'axe de nos jours,
Après que fut la mort, tout sera oublié.