Cette série de poèmes hexagrammatiques ont tous la même structure :
Une première partie de six vers reliés par des « où », dont le premier de la série donne la distribution de yins et/ou yangs propre à l’hexagramme (nommé par le titre). Les cinq suivants ne font que gloser sur ces yins/yangs dans cette distribution.
La seconde série qui commence après le sixième vers en rassemble six nouveaux reliés par des « et » pour représenter la distribution yins/yangs initiale
1) du premier au sixième vers,
2) au sein de chacun d’eux.
Ils suggèrent l’un après l’autre une autre distribution yin/yang (en vis-à-vis ou "mélangés") propre à cet hexagramme à chacun de ses six degrés.
L’écriture présente ces yins et yangs sur un plan symbolique d’abord, en substituant à « yin » et à « yang » une glose plus ou moins standard.
Puis elle passe à un versant métaphorique en puisant dans le texte canonique le matériau sémantique de l'hexagramme et en l'interprétant.
La lecture, horizontale et paradigmatique de la première partie passe au tabulaire après être devenue verticale et syntagmatique : les deux axes de lecture sont superposés dans chacune des parties mais inversement.
PS. Ne pas tenir compte du mode d'emploi s'il embrouille tout.
Une première partie de six vers reliés par des « où », dont le premier de la série donne la distribution de yins et/ou yangs propre à l’hexagramme (nommé par le titre). Les cinq suivants ne font que gloser sur ces yins/yangs dans cette distribution.
La seconde série qui commence après le sixième vers en rassemble six nouveaux reliés par des « et » pour représenter la distribution yins/yangs initiale
1) du premier au sixième vers,
2) au sein de chacun d’eux.
Ils suggèrent l’un après l’autre une autre distribution yin/yang (en vis-à-vis ou "mélangés") propre à cet hexagramme à chacun de ses six degrés.
L’écriture présente ces yins et yangs sur un plan symbolique d’abord, en substituant à « yin » et à « yang » une glose plus ou moins standard.
Puis elle passe à un versant métaphorique en puisant dans le texte canonique le matériau sémantique de l'hexagramme et en l'interprétant.
La lecture, horizontale et paradigmatique de la première partie passe au tabulaire après être devenue verticale et syntagmatique : les deux axes de lecture sont superposés dans chacune des parties mais inversement.
PS. Ne pas tenir compte du mode d'emploi s'il embrouille tout.
Dernière édition par le Mer 8 Fév 2006 - 19:03, édité 1 fois