Découvre-toi la fraicheur commence à tomber
Le salut méprisable est dans l'un des tiroirs de nos passions
Privés de notre chaleur
La cloche le sac l'épieu
Vont moisir avec les couleurs de la perspective thermale
L'expérience de l'amour
Glanée à la mosaïques des délires
Oriente notre devenir
Nous sommes visiblement présents
En surface
Pour le baiser de fausse route
Professeur d'hypnotisme
Sujet au royaume de la pariétaire profonde
Nous écrasons les derniers squelettes vibrants du parc idéal
D'un bout à l'autre de la distance hors mémoire
Nous apparaissons comme les végétaux complets
Envahisseurs du nouvel âge primitif
Pour une période de jeunesse
Nous regardons couler dans les veines des chairs volatiles
Les fleurs microscopiques de la marée
En nous
La vie le mouvement la mort est un voyage par eau
Comme la barre d'acier
Le cheval conducteur n'appartient pas à la platitude historique
Mais à la poésie criminelle
Les sexes de cendre rentrent dans leur bouche de feu
Dans les abris les pelles prennent toute la place
Au ciel la pluie de crachats perce la croûte de toux
Les lettres de la Table sont gravées sur une plaque publique clouée
Nous touchons au noeud du métal
Qui donne la mort
Sans laisser de trace
(Minerai, Poèmes militants)
Le salut méprisable est dans l'un des tiroirs de nos passions
Privés de notre chaleur
La cloche le sac l'épieu
Vont moisir avec les couleurs de la perspective thermale
L'expérience de l'amour
Glanée à la mosaïques des délires
Oriente notre devenir
Nous sommes visiblement présents
En surface
Pour le baiser de fausse route
Professeur d'hypnotisme
Sujet au royaume de la pariétaire profonde
Nous écrasons les derniers squelettes vibrants du parc idéal
D'un bout à l'autre de la distance hors mémoire
Nous apparaissons comme les végétaux complets
Envahisseurs du nouvel âge primitif
Pour une période de jeunesse
Nous regardons couler dans les veines des chairs volatiles
Les fleurs microscopiques de la marée
En nous
La vie le mouvement la mort est un voyage par eau
Comme la barre d'acier
Le cheval conducteur n'appartient pas à la platitude historique
Mais à la poésie criminelle
Les sexes de cendre rentrent dans leur bouche de feu
Dans les abris les pelles prennent toute la place
Au ciel la pluie de crachats perce la croûte de toux
Les lettres de la Table sont gravées sur une plaque publique clouée
Nous touchons au noeud du métal
Qui donne la mort
Sans laisser de trace
(Minerai, Poèmes militants)