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Je fume joint sur joint ils sont si infinis et c’est la nuit,
Je tire ligne sur ligne comme je respire sur la nuit que j’écris,
J’aspire à écrire des lignes ni de nuit ni de joint mais
De vers de poèmes aux longs vers aux longs cours, cours toujours
Jusqu’au bout du jour au bout du joint de la ligne c’est la nuit
Longue de jours pleins de vers qui s’étirent et que j’écris
Pour ne pas crier pourtant ça fait du bien d’écrier non mais
D’écrire de rire alors passe-passe-moi ce jour qui tourne toujours…
Pour fumer joint sur jour tou sur jours toute la ligne la nuit
Et que ça sonne ¡ sí señor ! yo también c’est la vie que j’écris
Que j’écrie que j’écume rime à rime non sans crime mais
Voilà pour que ça sonne ça re-sonne ça résonne je répète toujours
Je fume joint sur joint ils sont si infinis et c’est la nuit
Des pétards du 14 juillet jusqu’au bout de la ligne que j’écris.
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Je fume joint sur joint ils sont si infinis et c’est la nuit,
Je tire ligne sur ligne comme je respire sur la nuit que j’écris,
J’aspire à écrire des lignes ni de nuit ni de joint mais
De vers de poèmes aux longs vers aux longs cours, cours toujours
Jusqu’au bout du jour au bout du joint de la ligne c’est la nuit
Longue de jours pleins de vers qui s’étirent et que j’écris
Pour ne pas crier pourtant ça fait du bien d’écrier non mais
D’écrire de rire alors passe-passe-moi ce jour qui tourne toujours…
Pour fumer joint sur jour tou sur jours toute la ligne la nuit
Et que ça sonne ¡ sí señor ! yo también c’est la vie que j’écris
Que j’écrie que j’écume rime à rime non sans crime mais
Voilà pour que ça sonne ça re-sonne ça résonne je répète toujours
Je fume joint sur joint ils sont si infinis et c’est la nuit
Des pétards du 14 juillet jusqu’au bout de la ligne que j’écris.
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